Arrivée, nouveau départ.

1.

Abandon ? Non, mon père ne m'aurais jamais fait ça. Assise sur un banc dans le couloir, j'attendais que père eu fini. Mars d'attendre, je collais une oreille contre la porte et n'entendis rien, que dalle, information 0. Ah ! Enfin :

-Van : Merci.

Quoi c'est tout ? Je décollai l'oreille avant que la porte s'ouvre. Père me regardai méchamment et partis, je ne pu le suivre, une personne me retint. Paralysée de tristesse je m'effondrai en sanglot.
Bien plus tard, quand j'avais repris mes esprits, je visitais le bâtiment principal. Un couloir était truffé d'armoire a vitre ou était installé des trophées, des photos, une photo représenté un vieux monsieur devant le pensionnat, sûrement le directeur. Après avoir fini de courir partout et me faire disputé une bonne dixième de fois je respirai par une petite fenêtre l'air frais, les oiseaux volaient, les feuilles des arbres suivaient, la voiture de mon père qui s'en allait. Quoi !? Il s'en va ? Je courrai dans les escaliers, bousculant quelque personne au passage, j'arrivai enfin au rez-de-chaussée, là ou j'étais arrivé a moitié réveillé le matin même. Je sortis dehors, ne voyant plus la voiture de mon père je pleurai. La dame de l'acceuil vint vers moi et me réconfortai, enfin elle essayai :

-Dame : Ne t'inquiète pas, tu vas t'amuser ici. Il y aura des personne de ton âge et d'autre.

Je ne l'écoutai pas et je partis lentement vers les escaliers pour finir assise sur la troisième marche. Mon ventre me fessait terriblement mal, j'avais comme un vide. Et ma tête, c'est comme si j'avais perdu des informations, mon âge, mon non ou encore mon prénom. Non ! J'ai six ans, mon nom est Elric et je m'appelle Miku, Miku Elric...Oui mon père ne m'avait pas reconnue a l'état, j'ai donc pris le nom de ma mère. La dame de l'accueil m'amena la valise :

-Dame : Une personne t'aidera a la porter jusqu'à ta chambre.

Je ne lui répondis pas, pas un mot, pas un merci. Je relevais la tête et vis par la grande porte ouverture le chemin de pierre que j'avais empruntée avec mon père le matin. J'attendais, ici les prochaines personne qui allaient, elles aussi prendre ce chemin, le chemin qui mène à cette prison dorée.

ça fesait longtemps qu'elle était arrivée ici , Kumiko , abandonnée à sa naissance , par sa famille.
Peux être n'était t-elle pas à leurs gouts tout simplement. C'était sous une pluie fine , mais qui mouillait vraiment bien. Faisant frissonner toutes personnes normales. Elle avait été déposée ici , avec sa soeur qui tenait un panier. Où une vielle dame les amenèrent près d'un bureau. Elle avait été officiellement offertes à cet endroit.
ça faisait alors 7 ans. Mais aucunes de ses années sont devenues des lacunes. Elle les aimaient même plutôt. Elle pensait que ses années de vie communes avec des personnes dans le même pétrin qu'elle, enfin non , Que des personnes de tout pays et de son âge était plus attractif que rester avec une famille qui la Haïssait.
On l'avait appelée il y a quelques heures de cela pour faire visiter la pension à une nouvelle petite fille.
Elle ne pouvais pas non plus rester à la pension sans travailler , vu que son père n'as jamais payer les honoraires de l'école . Donc elle travaillait comme elle le pouvait.

La directrice la pris par les épaules et me montras à une petite fille.
Elle était assez bizarre. Ses cheveux étaient bien longs , et bien bleus . Ce n'était pas basique !
Et ses habits assez gris. Elle se levas sans un mot. Et partit avec la Kumiko sans un merci.
vers le chemin de pierre qui plaisait beaucoup à cette dernière.

En admiration devant les cheveux de sa prochaine amie , Kumiko les carressa :

-Comment tu as fait ?

2.

Timide,oui j'étais timide assez pour ne pas répondre a la fille qui étais là à côté de moi mais c'était une chance de me faire une amie, la première, je devais tentais le tout pour le tout :

-Miku : Je les est teints.

"Teinture choisi : bleu. Temps pour le mettre : 1 heure." C'est ce qui étais marqué sur la boîte de shampoing. C'était Riza qui avais bien voulu me teindre les cheveux.
Je devais avoir le plus d'informations sur cette fille. Elle était vraiment mignonne, moi je n'étais qu'un chiffon parmi d'autre laissé sur le trottoir et mâchouille par des chiens errant. Le trottoir c'était le pensionnat et les chiens c'était le directeur et ses sbires. Ah ! Je regarde trop la télé moi...Bref, cette fille, comment elle s'appelais ? Son histoire ? Il fallait que je lui demande, mais plus tard. Sa compagnie était agréable...Je pouvais rester une heure, deux heures et même plus avec elle, j'avais trouvé une amie, enfin. Mais bon, prenons un exemple, une personne qui aime bien une autre, veut absolument ce rapproché de l'autre, mais cette dernière ne l'aime pas, elle ce fait donc rejeté. Si cela ce passé avec la fille, la seul amie que je pouvais avoir ? Quesque je deviendrais...hein ?

Kumiko lui serras la main assez fort. Elle était si jolie.
Elle , elle n'avait jamais vraiment pensée à ce faire une teinture , bien qu'elle aime sincèrement
la couleur Verte , qu'elle pourrais avoir sur son corps entier... Entier ?
N'est ce pas une phrases des plus spéciales que j'ai dit là ?
Bah peux être , je m'en vois désolée.
Bon revenant à nos deux petites filles agées de 7 ans , Qui l'une comme l'autre , reste
trop intimidée pour pouvoir commencer une dicsution , ce qui pesait lourd sur l'ambiance
déjà pas des plus classes.
D'un coup kumiko trébucha et tomba tête la première sur un banc.
C'est fou à quel point , elle aurait aimé qu'on l'aide et qu'on la relève , juste pour
qu'elle ne sois plus à terre , bien que ça lui arrive souvent.
La petite filles aux couettes bleus , lui tends la main gentiment...
Serait une nouvelle histoire d'amitiée ?

3.

Oh ! La fille trébuche, elle tombe.
Ouille...Je devrais l'aidée a la relever, je lui tendis la main gentiment. La fille lui pris et je tira de toute mes force pour qu'elle ce relève. Voilà, c'est fait, son front ne fessait apparaitre qu'une petite bosse, rien de grave. Un sourire ce dessiné sur mes petites lèvres rose pâle. Je lui pris la main et nous continuâmes notre marche, ou allions nous au faite ? Je ne sais pas, j'avais peur, je sera de plus en plus fort la main de la fille.
La fille...La fille n'avais pas de prénom ? Je devais lui demander cette information. Oui, cette information la est importante pour une bonne amitié. J'aurais aimé que l'autre fille soit d'accord, pas grave, si elle ne veut pas de moi comme amie je ...je ne sais pas ce que je ferais...Je pris mon courage a deux mains et lui demanda :

-Comment tu t'appelles ?

J'avais la chaire de poule, mes poils se redressèrent. Comment j'avais osé ?